Poemas de amor :  ¿Qué será de mí?
Que será de mí,
el día que no pueda..
pronunciar tu nombre?
cuando mis ojos..
no perfilen tu figura,
y mis manos, sean torpes.

No me perdonaré las veces..
que te volví la espalda,
los minutos, que pasé..
cometiendo errores,
ni los besos que me perdí..
cuando mi orgullo..
superaba a mis valores.

Eras.. tan grande para mí,
que para que cupieses..
en mi corazón,
tuve que desahuciar..
a penas y dolores,
y te instalaste a vivir en él,
llenando todos sus rincones.

Allí.. te quise, te amé,
y endulcé los sinsabores..
me regalasté y te regalé,
mi vida, mi alma.. mi piel,
mi arco iris y sus colores.

Así, hemos envejecido..
y aunque, se marchiten..
nuestras flores..
seguimos regando el jardín..
el jardín, de nuestros amores.

¿Que será de mí,
el día que no pueda..
pronunciar tu nombre?
de pena moriré..
y sino muero.. mátame,
porque no podría soportar..
que por mí, llores.

Téura
Poeta

Textos :  Dans les limbes de la spéculation…
Dans les limbes de la spéculation…


Dans le cas où se trouve une condition émotive ou mentale chaotique, les courants spirituels sont déviés et le cerveau n'est pas impressionné par ce qui peut être vu ou entendu intérieurement.

En cas de fatigue, nécessitant le repos du corps physique, les impressions intérieures ne sont pas enregistrées.

Même le plus ignorant des sauvages reconnaît un Pouvoir et essaie de définir ses rapports avec ce Pouvoir en termes de peur, de sacrifice ou de propitiation.

Ce serait confondre le futur et l’avenir. Le futur prend la suite du présent; il suit ses lois. L’avenir est ce qui ne cesse d’insister dans le présent et de le menacer.

Pour l’aveugle qu’il devient, le monde s’arrête au bout de la canne qui lui sert à éviter les réverbères.
C’est jusqu’à son corps, réduit à la passivité, qui perd non seulement en autonomie mais en matérialité, à moins qu’il ne soit soudainement touché, heurté. Voici quelques-unes des significations les plus évidentes; de plus profondes se feront jour lorsque celles-là seront des réalités et non des théories spéculatives dans votre vie.

Il est inutile que nous nous préoccupions de ce qui est encore très éloigné de notre humanité. Des problèmes immédiats réclament notre attention, problèmes individuels ou collectifs.

En pointant, dans La Condition de l’homme moderne, l’uniformisation et la déshumanisation engendrées par une production et une consommation de masse, la philosophe questionne notre rapport à des objets toujours plus nombreux et obsolètes.

Tout en préservant ce que nous avons appris du réductionnisme et de l’analyse, la méthode scientifique a maintenant besoin d’être élargie pour inclure des voies de participation directe et un savoir qui nous offre une vision des propriétés des ensembles émergeants et cohérent qui constituent le monde naturel.

Même si à vos yeux la situation est confuse et l'horizon sombre, soyez certains que, quand la situation chaotique est généralisée comme à présent, impliquant le monde entier, c'est l'indice de la fin de ces terribles conditions.

Etre introverti signifie en fait, que vous, en tant que personnalité pensante, dirigez toujours votre regard vers votre sensibilité et votre vie pensante intérieure.

Ce n'est pas vivre subjectivement; c'est vivre comme un observateur qui regarde vers l'intérieur. L'école introspective qui suppose un soi ou un élément conscient responsable des diverses conditions qui, comme il est dit, est "conscient de la conscience".

Il faut toutefois se rappeler que, selon la loi, cet entraînement sera cyclique, qu'il aura ses périodes de flux et de reflux comme toute chose dans la nature.

Aux périodes d'activité succéderont les périodes de pralaya; des périodes de contact conscient alterneront avec des périodes de silence apparent.

La remarquable capacité moderne de différenciation et de discernement qui a été si rigoureusement forgée doit être préservée, mais notre défi est maintenant de développer et d’intégrer cette discipline dans un engagement intellectuel et spirituel plus englobant, plus magnanime.

Ce n'est qu'une leçon de mémoire, tout simplement, le "pourquoi" du professeur n'exigeant que des circonstances et non des raisons.

Chaque société d'aventuriers, qui n'ont d'autre but que de faire commerce de tout… Ou comment les émotions deviennent des outils de travail, des objets marchands, qui exigent en retour de l’individu un jeu constant, et souvent inconscient, avec les « règles des sentiments », mais aussi avec lui-même, entre vie privée et vie publique, entre ses « vrais » et ses « faux » moi.

Dès lors, le prix à payer du sourire peut être, par excès d’identification à son travail ou par excès de distance, le burn-out ou le cynisme, c’est-à-dire la « mort émotionnelle ».

Nous réduirions le travail purement machinal de la mémoire à un minimum absolu; et le temps serait employé à développer et à cultiver les sens et les facultés intérieures, ainsi que les capacités latentes.

Ils pourraient revenir à notre œil intérieur – presque à notre sens du toucher, devrait-on dire, - des espaces ontologiques dont nous avons oublié l’existence, des paysages emplis de présences.

Ensemble elles deviennent une intelligence qui n’est pas simplement cérébrale, qui ne calcule pas, mais sent et pense.

Ce qui est nécessaire (pour l’appréciation de la vérité la plus profonde de la beauté) est l’éveil d’une certaine manière de voir, une vision intérieure et une réponse intuitive dans l’âme….et qui partagent la même vision de l’unité, de l’interrelation et de l’interdépendance entre les nations et les peuples. Ses motifs sont élevés, ses méthodes douces, et ses intérêts non égoïstes.

Il est temps d’articuler et de pratiquer une épistémologie de l’amour à la place d’une de séparation.…est la lumière même, et lorsqu’elle agit, le monde est vu comme lumière, et le corps de lumière de toute forme devient graduellement apparent.

L’intuition est un pouvoir supérieur à celui du mental... C’est le pouvoir de la raison pure, une expression du principe bouddhique; elle demeure au-delà du monde de l’égo et de celui de la forme.

La clé du succès réside dans l’unité d’intention, qui émane de la consécration au service de l’humanité et d’un esprit de coopération, de l’amour de groupe et de la conscience de groupe.

Lorsque ce point focal subjectif existe, on peut mettre de côté toutes les dissensions et les frictions personnelles.
Son expérience de l’absence le confronte tout de même au non-être, pourrait-on ajouter. Un gouffre à contempler les yeux grands fermés.

On a appelé « haute liberté » cette expérience, dans la conscience en éveil, de la présence du vrai Soi dans toute autre forme, cette vision de la lumière qui irradie de chaque atome, cette transformation de la perception qui advient quand une vérité devient une propre expérience directe.

De cette multiplicité d'idées, de théories, de spéculations, de religions, d'Eglises, de cultes, de sectes et d'organisations, deux lignes de pensée se détachent.

Pour rencontrer les profondeurs et la riche complexité du cosmos, nous avons besoin de voies de découverte qui intègrent complétement l’imagination, la sensibilité esthétique, l’intuition spirituelle et morale, l’expérience révélatrice, la perception symbolique, des modes de compréhension somatiques et sensuels, un savoir empathique.

Ils sont animés d'un esprit constructif; ils sont les constructeurs de la nouvelle ère.

Il leur est confié la tâche de préserver l'esprit de vérité et de réorganiser les pensées des hommes afin que le mental de l'humanité soit maîtrisé et qu'il assume l'attitude réflexive et méditative qui permettra de reconnaître l'ultérieur développement.

Il réalise que la paix est dans l’harmonie intérieure qui demeure en vérité et non dans un quelconque ajustement extérieur
.



Toutes les droites appartiennent à son auteur Il a été publié sur e-Stories.org par la demande de Joel Fortunato Reyes Pérez.
Publié sur e-Stories.org sur 07.07.2017.
Poeta

Poemas de esperanza :  Al secarse el rio
Al secarse el río, amor mio,
oro podrías encontrar;
por favor, ya no llores más.

Héctor H. García
Poeta

Poemas de amor :  De tanto, como te quiero..
De tanto.. como te quiero,
detendría el viento, que a veces..
con fuerza mueve tu pelo,
y apagaría el sol, que sin querer..
deslumbra tu mirada,
no quiero que nadie.. te haga daño,
¡! Maldito invierno, que deja fría tu cara ¡!

Enmudecería el mar..
para que no, atronase tus oídos..
a la tormenta ordenaría callar,
y bajaría el brillo a las estrellas..
que nada, a tu sueño pudiera molestar.

Y aún agotada, de tanto.. esfuerzo,
de terciopelo mis labios haría forrar,
una nube de tierno algodón, sería mi pecho,
para que tú, pudieras descansar.

Dejaría siempre, la Luna llena..
que el miedo no entrase en tu intimidad,
y, envolvería a mis manos de ternura..
que flotasen por tu cuerpo, sin llegarte a tocar.

De tanto.. como te quiero,
como una loca, sin darme cuenta,
me he puesto a soñar.


Téura
Poeta

Frases y pensamientos :  DE UM MODO...

   De um modo geral o poder corrompe o espírito fraco, mas é especificamente o poder de legislar aquele que eminentemente o leva à loucura.

Guru Evald

 
Poeta

Poemas :  Te necesito tangible
Pasas y repasas... y ya me siento mareado,
de perderme en cada detalle de tus formas,
deslizándose sin compasión ante mis sentidos
y en cada ocasión irrumpiendo con pasión,
las pocas defensas de mi subconsciente, que
además acusan muestras de adicción por ti.

Te detienes, sonríes una vez más y en tus ojos
me delato... de tanto pretender no parecer
tan obvio, tan evidentemente enamorado...
extraviado, como en un majestuoso atardecer
o confesándome con mis ansias e ilusiones
en la noche, con la luna así de llena, acerca de ti.

He perdido la cuenta de las veces que pasas
y ¡vamos!... es suficiente, no puedo seguir así,
adoro cada palmo tuyo, eres mi inspiración,
pero hay cosas que esperan por mi atención,
así que tendré que llamarte o pasar a verte
pronto... te necesito tangible, aquí y ahora...
Poeta

Poemas de despedida :  Sobre mis manos
Sobre mis manos; tus besos
y todo lo tuyo en mí,
y mis manos hacia el cielo
para que al llegar el viento
lo lleve todo de nuevo hacia ti.
te quise mucho... fin.

Héctor H. García
Poeta

Poemas de amor :  El amor, no se acaba..
Me pides.. que te olvide,
que con tu recuerdo, no sufra..
que borre de mi mente..
las noches de locura,
que, busque en otros labios..
otra clase de ternura..
que mire en el cielo..
y vea.. otra luna,
que piense, en otras manos..
abrazando mi cintura,
que el amor, se acaba..
que cien años.. no, dura.

Y no, puedo olvidarte..
tu recuerdo, me tortura..
solo veo en mi mente..
aquellas noches, de locura..
y aunque busque en otros labios..
otra clase.. de ternura,
cuando miro al cielo..
veo, nuestra luna..
y pienso en tus manos..
abrazando mi cintura,
porque, el amor no se acaba..
si se ama..
más.. de cien años, dura.

Téura
Poeta

Poemas de amor :  Con o sin destino, la vida sigue...
Algunas veces cuando despertamos creemos que no es fácil proseguir, quizás la nostalgia nos atrapa justo cuando tenemos las ganas de recomenzar. Pues, la fragilidad de un sentimiento suele apoderarse de los recuerdos y así como la distancia se adueña del tiempo perdido, la fragilidad pretende quitar de tus objetivos la meta prioritaria.

Mi principal inquietud -siempre- fue saber ¿qué relación tiene la vida con el destino?

Coincidencias determinadas, circunstancias predestinadas y hasta teorías de voluntad pueden surgir en esta discusión; sin embargo, consecuentemente la vida se encarga de resolver algunos dilemas, la vida es quien se encarga de encajar y reconocer el presente.

Sí, la vida es tiempo presente que digiere la historia y le resta importancia a los condicionamientos que el destino pudo haberle puesto a tu camino.

La única fuerza que nos permitirá cumplir con los retos y metas establecidas es el miedo a fracasar, si esa fuerza que nos sorprende cada vez que frente a un espejo suele gritarnos con sabiduría: avanza que la casualidad no es una elección, avanza que la decisión es el estímulo real para continuar, avanza que la vida no es el destino obligado, avanza que la vida no es la herencia de contextos inusuales o inclinaciones conceptuales.

Como ley mandatoria debes saber que la vida sigue con o sin destino prefabricado, la vida sigue porque la confianza interna jamás te deja como un ser abandonado.

Finalmente, somos responsables de nuestra propia historia.

Posdata: Inspirado y dedicado en quien tiene ese don de recordarte que la transparencia del alma no sólo es de un niño...


Autor: Lilia Quituisaca-Samaniego
Poeta

Poemas :  Hay en el Bosque
Hay en el bosque un niño dormido,
de pies suaves y ojos caídos,
descansa en sus manos un violín con su musa
que toca en su pecho tambores con rosas
Hay en el bosque un misterio pagano,
una silente voz que todos presienten
en el trino del ave que despide la noche
iluminando sonidos con cantos y arrullo
de torcazas y alondras.
Hay en el bosque la luz y las sombras,
la orquídea perdida, la manzana mordida.
Hay en el bosque un niño cansado,
se encuentra perdido buscando la senda
que guien sus pasos,
sus ojos cerrados pacíficos yertos,
ven volar de sus manos mariposas y anhelos...
El tambor se ha callado llamando a silencio,
sobre un ciervo dorado se escapan los sueños

creado 10/07/2017 Catriel Cuestas Acosta
Poeta